Bonjour cher(es) tous, Sympathisant(es) membre adhérent(es) et membres fondateurs de l’Association Zoodo en France et au Burkina Faso.
Les femmes des centres sur Bobo Dioulasso vous adressent leurs salutations distinguées en ces temps de pandémie qui est le Corona Virus qui a fait des ravages dans le monde, dont l’Afrique n’est pas rester en marge.
Nous présentons nos condoléances et prompte rétablissement à toutes les familles touchées en France, au Burkina et dans le monde.
En effet les 2 centres de Zoodo à Bobo Dioulasso ont du observer les protocoles sanitaires mis en place par les autorités Burkinabé.
Une fois les restrictions dû au Corona Virus levés, les formatrices des 2 centres de Zoodo dans les quartiers Sarfalao et Bindougousso Madame Elisabeth Sawadogo et Madame Sara Traoré Ont profité de ces temps-ci réfléchir à la bonne continuité des activités économiques et lucratives propulser par les membres fondateurs et les membres adhérent(es) de Zoodo France sous la houlette de Mr Jean Marc et Anne Marie depuis plus d’une quinzaine d’année dont nous souhaitons à toutes et à tous longue vie, afin que vous continuez à outiller les femmes des centres Zoodo au Burkina à leurs épanouissements à travers l’alphabétisation et aux activités génératrices de revenus.
Les 2 enseignantes Madame Elisabeth et Madame Sara Traoré qui constituent les leaders des 2 centres une fois les mesures de restriction levées par nos gouvernants, elles ont du composer avec les aléas du moment ; fermeture des frontières, manque des produits de matières premières pour les fabrications des savons ou hors de prix suite à la pénurie du beurre de karité et l’huile du cocotier exportée depuis la Côte d’Ivoire. L’activité persiste mais elles déplorent que la fréquence d’avant la pandémie est loin d’être atteinte présentement.
Du coup, il leur fallait innover en se formant dans les techniques d’autres activités génératrice de revenus.
C’est essentiel pour les braves femmes qui ont fait du programme d’alphabétisation des centres Zoodo leur seconde chance d’acquérir les cours d’alphabétisation et le fait d’avoir un cadre de formation au différents métiers pouvant les aider à s’autonomiser afin de pouvoir soutenir leurs maris dans les gestions des dépenses familiale.
Donc de concertation en concertation, grâce au centre d’alphabétisation réunissant les femmes, des projets porteur d’espoir, car pouvant générer plus de revenus qui est les filages et les tissages et les ventes des pagnes issues de cette fabrication locale qui est en vogue dans ces temps-si et qui est prisée par les Burkinabé.
Ce qui nous rappelle discours de notre ancien président THOMAS Sankara qui disait consommons ce que nous produisons.
Chez madame Elisabeth Sawadogo des machines et des professionnelles les assistent une semaine sur 2 et les femmes se relaient pour la bonne marge des activités du centre, du coup ménage, activité champêtre, vente des produits fabriqué par les femmes au marché, alphabétisation et fabrication des savons.
Leurs permettent de ne pas rester en marge de la société en ces temps de pandémie mondiale.
Merci pour votre aide et amitiés de
Casimir Ouedraogo
Coordinateur Bobo Dioulasso
merci de ces nouvelles,la situation actuelle est difficile.merci pour les condoléances, j’ai aussi pensé au Burkina,aux familles amies.je suis contente de savoir que de nouveaux projets permettent de créer des ressources.
Merci pour votre soutien Marie-Jo. Nous allons soutenir les projets de redémarrage.
Bonne journée et amitiés.
Anne-Marie & Jean-Marc